mercredi, juillet 23, 2003

Réellement la mort de ces deux pitoyables canailles (Oudai et Qussai pour ceux qui auraient dormi tard) n'a pas grande importance. Morts ou vifs, cela n'aurait pas changé grand chose, dans l'état de délabrement physique et mental où se trouvait au moins l'un, on les voyait mal conduire une guérilla efficace. Rejetons dégénérés d'un prince sanguinaire, rien de plus. Ils n'auraient pas plus été dangereux que Niku Ceaucescu si on l'avait laissé vivre...


Est-ce que Saddam est, lui, encore un danger ? Non. Il y a peu de dictateurs qui une fois renversés retrouvent l'entrain et la chance de leur jeunesse pour repartir à la conquête du pouvoir. Evidemment, beaucoup d'Irakiens et de Kurdes auraient des comptes à lui demander.

Concert de soutien à l'Institut kurde