jeudi, mars 20, 2003

La voix de Saddam, exhortant à la résistance, cette nuit. Qu'il s'agisse d'une doublure ou non, cette voix est frappante par son inconsistance, sa faiblesse. Une voix nasillarde et sans timbre. Aussi ridicule que celle du Dictateur de Chaplin. Une voix déjà défaite. Il faut croire que les tyrans ne sont jamais de grands hommes dans l'intimité.

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