Le vrai soufi est ainsi fait que, même quand il est accusé, attaqué et condamné injustement de tous côtés, il subit avec patience, sans jamais prononcer une mauvaise parole à l'encontre de ses critiques. Le soufi ne choisit jamais le blâme. Comment pourrait-il avoir des adversaires, des rivaux, voire des "autres" alors qu'il n'y a pas de "moi" pour lui ?
Comment peut-il y avoir quoi que ce soit à condamner quand il n'y a qu'Un ?"Les 40 règles de la religion de l'amour" de Shams ed-Din Tabrizi.
in Soufi, mon amour, Elif Shafak.
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